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																					Mon 9.30 - 17.00  
														
																								Tue 9.30 - 17.00  
														
																								Wed 9.30 - 17.00  
														
																								Thu 9.30 - 17.00  
														
																								Fri 9.30 - 17.00  
														
																								Sat 9.30 - 17.00  
														
																								Sun 9.30 - 17.00  
																				
							01 April - 30 September
																					Mon 9.00 - 18.00  
														
																								Tue 9.00 - 18.00  
														
																								Wed 9.00 - 18.00  
														
																								Thu 9.00 - 18.00  
														
																								Fri 9.00 - 18.00  
														
																								Sat 9.00 - 18.00  
														
																								Sun 9.00 - 18.00  
																				
The church was rebuilt in 1763, on the site of the previous gothic church, of which only the chapel called ‘ les cloches’, and the impressive 13th century belfry in gable-roof have been kept. (Gable-roof is a traditional high, two-sided belfry, typical of the Basse Normandie region, where there are 340 examples to be seen in the rural areas).
In the 19th century, after a visit to Rome, and more particularly the Sixtine Chapel, the parish priest wished for transformation, and called on Guillaume Fouace, a painter born in Réville, nearby, to decorate the vault of his church with scenes of the life of Jesus and the Virgin. The work was completed later with the installation of stained-glass windows.
Many elements of statuary, and furnishings, complete the whole, and deserve careful attention.
 
								 
							Cet ensemble monumental trouve son origine dans le séjour à Montfarville, du curé du lieu, Jean-François Goutière.
Celui-ci y exerça son ministère de 1871 à 1882. L'abbé Goutière ambitionnait cette cure, et, lorsqu'il l'obtient, il s'y donna totalement, mettant toute son énergie à embellir l'église, d'abord par la pose de certains vitraux, ensuite par la commande à Guillaume Fouace de cette œuvre qui comprend 19 toiles, soit 200m2 de peinture.
Les critiques d'art soulignent dans cette oeuvre réalisée à partir de "cartons" assez classiques, un investissement exceptionnel de Fouace, dans ses physionomies, ses personnages et ses drapés.
Preuve de l'importance qu'il portait à cette oeuvre, peinte en 3 ans à son domicile de Réville, et marouflée (collée) sur la voûte, il s'y représenta dans la scène de la pêche miraculeuse, peignant les donateurs Debrix et Lebaron dans une autre scène. Plus tardivement, après le décès de sa fille Béatrix en 1888, à l'âge de 14 ans, il modifia le visage de l'Ange Gabriel dans la toile de l'Annonciation pour lui donner les traites de sa fille, souriante sous le regard de sa mère, laquelle était déjà représentée de l'autre côté de la Nef dans le personnage de la Samaritaine.
Ils sont signés Lorin, verrier à Chartres.
Deux, au centre de la nef, sont du même artisan.
Le couvercle, représentant saint Jean Baptiste, en ébène est exécuté en 1765 par un sculpteur nommé Guillaume, originaire de Morsalines, à qui l’on doit également les stalles présentes dans le chœur.
Ils sont classés au titre des Monuments Historiques depuis 1983.
Nom donné en patois à la poudre de gloire. En chêne peint et et doré, elle est installée en 1765 et supporte un Christ de style normand du XVIIe siècle.
Elle est protégée au titre des Monuments Historiques depuis 1955.
L’œuvre présente sur le côté sud la vie de Marie et celle de Jésus sur le côté nord alors que la voûte présente des images plus particulières tels que la Marche des Mages et le Sermon sur la Montagne. L’Église est présente avec l’image de Saint-Pierre de Rome et saint Joseph que le pape Pie X venait de déclarer patron de l’Église universelle.
L’apothéose se situe au-dessus du maître-autel avec la réplique de La Cène de Léonard de Vinci.