01 Juli - 31 Juli
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Fr 14.30 - 17.00
Sa 14.30 - 17.00
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23 August - 21 September
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Samstag 18.30
Marchipont, einst auf der anderen Seite der Grenze gelegen, wurde 1806 von Napoleon I. an das französische Dorf Rombies angegliedert und wurde zu einem Dorf des heutigen Dorfes mit zwei Kirchen: Saint-Remy de Rombies und Saint-Nicolas de Marchipont. Neben der natürlichen Umgebung hat das Dorf ein interessantes bauliches Erbe: die Büros des alten Zollhauses, die Bauernhöfe des 18. und 19. Jahrhunderts und die malerische Wassermühle von 1779 mit ihren Mühlsteinen und Mechanismen, die seit 1992 unter Denkmalschutz steht.
Viele Kapellen säumen die Straßen des Dorfes und zeugen von Wallfahrten und dem Weg von Santiago de Compostela, von dem die Kirche San Nicolas im Dorf Marchipont eine der Stationen war.
Diese Kirche, die im Laufe der Jahrhunderte und der Konflikte zwischen Frankreich und den Niederlanden zerstört und wieder aufgebaut wurde, ist seit dem 13. Jahrhundert dokumentiert. Die heutige rote Backsteinkirche geht jedoch auf ihre letzte Rekonstruktion im Jahr 1718 zurück, wie die Inschrift an ihrer Fassade und der in der Nordwand versiegelte Stein belegen.
Die Kirche, die vor kurzem vor allem dank der Unterstützung des örtlichen historischen Vereins CHARM restauriert wurde, behält durch ihre Architektur und den Reichtum ihrer Möbel aus dem 18. Jahrhundert einen besonderen Charakter.
On l’appelle aussi chaire de vérité. C’est de là-haut que le prêtre prononçait les sermons. Il y en avait une par église, malheureusement un très grand nombre ont disparu, victimes de la réforme liturgique des années 1960-1970. Celle de Rombies est par chance intacte. Elle date du XVIIIème siècle. Sur le panneau de devant de la cuve figure le Bon Pasteur, figure symbolique du Christ sauveur de l’humanité. C’est assez inhabituel, le plus souvent on voit le Christ enseignant entouré des quatre évangélistes.
Suspendue en hauteur, à l’entrée du choeur. Cette belle statue est typique de la sculpture régionale du XVIème siècle. Il y en a encore beaucoup dans le Valenciennois et l’Avesnois. Il faut l’imaginer telle qu’elle était à l’origine, peinte de couleurs vives.
Le tableau du fond du choeur représente le Christ descendu de la croix, il a été peint au XIXème siècle, c’est une copie d’une oeuvre du peintre anversois Peter Paul Rubens.
Au bout du bas-côté gauche, comme dans toutes les églises de la région, il y a un autel consacré à la sainte Vierge. Il est ici orné d’un tableau du XIXème siècle la représentant montant au ciel, inspiré du peintre espagnol Esteban Murillo.
De l’autre côté l’autel est consacré à saint Rémy, patron de l’église, que l’on voit en train de baptiser le roi des Francs Clovis en l’an 496.
Au milieu de chacune des nefs latérales il y a des autels dédiés au Sacré-Coeur de Jésus, à gauche, et à sainte Thérèse de l’Enfant Jésus, à droite. Ces deux dévotions sont encore très vivaces dans les églises, nombreux sont ceux qui viennent les prier pour obtenir des graces, voire des miracles... Mais ce qui est remarquable à Rombies ce sont les autels, qui datent des années 1930 et sont typiques du style art-déco. Ce style un temps méprisé est de nouveau très apprécié. Comme la chaire, ils ont échappé à la réforme liturgique, faut-il y voir une preuve du pouvoir céleste des patrons à qui ils sont dédiés ?