01 janvier - 31 décembre
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Depuis 1803, Clervaux est le siège d'une paroisse et d'un doyenné. Auparavant, la localité faisait partie de Munshausen pour ce qui est des relations ecclésiastiques. La première église paroissiale se trouvait sur l'actuelle place du marché, à la Groβgasse. De 1910 à 1912, elle a été remplacée par l'église actuelle, construite en style néo-roman d'après les plans de Johannes Franziskus Klomp. Le même architecte a également conçu les bâtiments de l'abbaye bénédictine.
L'édifice est construit en pierres d'ardoise, ce qui lui permet de s'intégrer harmonieusement dans le paysage de l'Ösling. La vénération des deux martyrs Côme et Damien remonte probablement à l'influence de l'évêché de Liège, auquel Clervaux a appartenu jusqu'à la Révolution française. Vers 1700, le comte Albert de Lannoy reçut des reliques de ces saints en provenance de Rome. Elles sont encore conservées aujourd'hui dans l'église. Les mosaïques du tympan au-dessus du portail principal font référence à la protection de ces saints sur l'église.
Il s’agit d’une œuvre de Lambert Piedboeuf qui a réalisé toutes les sculptures de l’église. Les reliefs représentent l’Épiphanie, Jésus au temple, le sacrifice d’Abraham et celui de Melchisédech.
Celui à gauche met en scène l’Assomption de la Vierge Marie. Il est attribué à Abraham Gilson d’Orval. En face est présenté le sacrifice d’Isaac par Abraham peint par Jean-Pierre Sauvage.
La Vierge se penche sur son fils mort qui vient d’être descendu de la croix. Normalement la mère tient le Christ sur ses genoux.
Elle montre le Christ en majesté assis sur des nuages entouré de la Vierge Marie et de saint Jean-Baptiste. La représentation s’inspire de l’art paléochrétien.
Ils remontent à l’époque de la reconstruction après la Deuxième Guerre mondiale. Ce sont des œuvres de Gust Zanter qui figurent de nombreux saints et des symboles en rapport avec leur vénération.