01 janvier - 31 décembre
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Au milieu du village se trouve la magnifique église dédiée à Notre-Dame de la Nativité. Depuis de nombreux siècles l'église rayonne de cette fierté si typique à Gierle. Le bâtiment tel qu'on le voit actuellement date du début du 16e siècle, mais les bases sont beaucoup plus anciennes. Derrière le maître-autel, une pierre serait encastrée, sur laquelle on peut lire l'année 1121.
Au 14e siècle, les moines de Cluny, l'illustre abbaye française, auraient enseigné ici la langue latine. Ces moines ont probablement aussi contribué à la conception et l'édification de l'église et du clocher, lequel peut pour cette raison être qualifié de clunisien. Le pied carré et la flèche octogonale sont remarquables et font référence à l'architecture romane.
Au fil des siècles, notre église a enduré de nombreuses tempêtes ; pendant les guerres de religion du 16e siècle surtout, elle a terriblement souffert du pillage, de la destruction et des incendies. Grâce aux efforts conjoints de nos ancêtres, elle fut à chaque fois restaurée et rénovée. Chaque curé, en général avec la collaboration de l'administration communale, s'est senti obligé de contribuer à l'entretien, la restauration ou la reconstruction de cette église.
KIKIRPA : Photothèque en ligne
La statue a probablement été sciée à la fin du 19e siècle et au début du 20e siècle et adaptée comme statue de procession.
Le support central de cette chaire de 1719 représente sainte Hélène en riche costume, avec la croix et le calice sur un nuage. Dans le bas, on voit un cadre de couronnes de laurier nouées, et dans le haut une corniche.
Sur le devant, on peut voir une image de Jésus bénissant.
Dans les angles chanfreinés se trouvent des écrans en volute avec le symbole des évangélistes.
Au-dessus de l'escalier, on peut voir une coquille sur laquelle deux guirlandes de fleurs sont suspendues par deux anges.
Vitrail, 1905.
Au centre, représentation de la Vierge à l'Enfant remettant le chapelet à saint Dominique en compagnie d'anges musiciens.
Devant à droite : main avec torche. Placé sous un double dais gothique.
Texte : Donum Familiae/Vendelmans-De Wolf/ Anno Domini/ 1905/O.L.V. van den aller hsten Rozenkrans.
Il s'agit du seul vitrail épargné pendant la Seconde Guerre mondiale.
Bronze de Willy Peeters (1983).
Vue de face d'un groupe de sculptures avec des figurines d'environ 33 cm de haut, sur piédestal.
Bloc rectangulaire en pierre calcaire coulée à gros grains (1900-1925). Dessus profilé, en gradins, voûté, avec pierre d'autel. L'ensemble est en marbre noir ; le socle rectangulaire inférieur comporte quatre colonnes pour le giron : chaque colonne a une base gothique, une colonne cylindrique en marbre rouge et des chapiteaux en forme de feuilles sous une pierre de couronnement carrée.
Au centre de l'assise se trouve un médaillon circulaire (relief en creux) avec quadrilobe contenant une croix rayonnée avec des armoiries en forme de fleur de lys.
Huile sur toile de Jill van Lill (2023).
En huit œuvres, l'artiste Jill dépeint sa propre interprétation des huit Béatitudes.
Pour le format, elle s'est inspirée des statues colorées de saints que l'on voyait dans toutes les églises, hautes sur un piédestal, bien visibles.
Chaque Béatitude suggère une récompense, qui sont les fleurs au sommet. Le symbole, l'image et la couleur donnent un aperçu de la signification de ces Béatitudes à mesure que Jill en fait l'expérience.