01 janvier - 31 décembre
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mer 9.00 - 17.00
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dim 9.00 - 17.00
La première église de Denderwindeke a probablement été construite à la fin du 7e siècle. Offerte à l'abbaye Saint-Pierre de Gand puis reprise par l'abbaye norbertine de Vicoigne, elle est passée entre les mains des Norbertins de Ninove.
L'église gothique a été détruite par un incendie en 1838. Elle a été immédiatement remplacée par une église néoclassique. Le chœur en pierre naturelle, de style gothique tardif du XVe siècle, a été conservé. La tour n'a été achevée qu'en 1860.
C'est l'une des rares églises encore entourées d'un cimetière. Les tombes du XIXe siècle n'ont pas été remplacées lors de la construction du nouveau cimetière au XXe siècle. Ainsi, derrière le chœur, vous trouverez deux croix de pierre du début du XVIIIe siècle, ainsi que des pièces d'archéologie funéraire plus tardives.
Autour de l'église se trouvent six stations de Notre-Dame des Sept Douleurs, sous forme de potales en pierre bleue avec des reliefs en terre cuite colorée. La septième station est le bas-relief au-dessus de l'entrée de l'église.
Remarquez également de l'autre côté de la rue le presbytère néo-gothique protégé, de 1886.
KIKIRPA : Photothèque en ligne
"Martyre de saint Pierre" d'Antoine Sallaert, autrefois attribué à C. Le Brun (1680) sur le maître-autel ; triptyque de la Résurrection, de Michiel Coxcie (1590) ; "Visitation" (17e siècle) ; "Sainte Famille" (17e siècle) ; "Crucifixion" (17e siècle) ; œuvres de l'école flamande (17e siècle) : "Tombeau du Christ" d'Abraham Janssen Van Nuyssen vers 1618.
Par Jacobs de Ninove.
Groupe de statues sur la base de la chaire : Jésus remet les clés à Pierre ; sous la cuve de la chaire : symboles des évangélistes ; sur la cuve, panneaux : "Jésus enseignant aux scribes dans le temple", "Assomption de Marie" et "Jésus et la Samaritaine"; sur les coins, statues des prophètes Jérémie, Ézéchiel, Daniel et Isaïe ; caisse de résonance couronnée de niches dans lesquelles se trouvent des statues e.a. de saint Jean-Baptiste ; chaire couronnée par l'Ascension de Jésus.
Groupe de sculptures en bois : Calvaire (XVIIIe siècle) ; pélican en bois (XVIIIe siècle).
Deux confessionnaux de la première moitié du XVIIIe siècle.
Confessionnal portatif de la fin du 17e - début du 18e siècle utilisé pour les malentendants.
Mobilier du 19e siècle.
Fonts baptismaux (18e siècle).
Orgue de Vereecken (deuxième moitié du XIXe siècle) classé comme monument historique.
Autour de l'église se trouvent les six stations de Notre-Dame des Sept Douleurs, sous forme de chapelles à niche en pierre bleue avec des reliefs en terre cuite colorée. Ils datent de 1808 et chacun d'entre eux mentionne le nom du donateur. La septième station est le bas-relief au-dessus de l'entrée de l'église.