02 janvier - 31 janvier
lun -
mar 14.00 - 17.00
mer 14.00 - 17.00
jeu 14.00 - 17.00
ven 14.00 - 17.00
sam 14.00 - 17.00
dim -
01 février - 30 novembre
lun -
mar 14.00 - 17.00
mer 14.00 - 17.00
jeu 14.00 - 17.00
ven 14.00 - 17.00
sam 14.00 - 17.00
dim 14.00 - 17.00
La crypte royale est ouverte un dimanche par mois de 14h à 17h : consultez les dates.
L'église est illuminée en soirée.
artndl.kunstolvl@ndlaeken-olvlaken.be
mercredi & vendredi : messe à 17.30 (F) précédée de l'adoration du Saint-Sacrement à 17h
samedi : 17.00 (Fr)
dimanche : 11.15 (Fr) - 13h (en albanais)
Voir les horaires actualisés sur le site de Notre-Dame de Laeken
A deux pas du palais royal de Laeken, l’église située sur une petite place réaménagée est un édifice néo-gothique qui mérite surtout un visite comme témoin de la présence proche de la famille royale.
Elle a été construite sur base des plans de l’architecte Poelaert, et sous l’instigation de Léopold I à suite du décès en 1850 de la Reine Marie-Louise. L’église consacrée en 1894 ne sera achevée qu’en 1909.
Elle renferme la crypte funéraire où sont inhumés les membres de la famille royale. Dans la chapelle Royale, qui n’est plus utilisé pour les besoins du culte, on découvre aussi une exposition permanente consacrée à la vie et l’œuvre du cardinal Joseph Cardijn, le fondateur de la J.O.C. ( jeunesse ouvrière catholique ) qui fut vicaire à Laeken et démarra ici son action d’émancipation en faveur des jeunes de la classe ouvrière.
A remarquer encore dans l’église le buste de Monseigneur Van Waeyenbergh, originaire de Laeken et ancien recteur de l’université de Louvain durant la guerre 1940-1945. On admirera une statue de la Vierge en bois polychrome de style roman. La dévotion à la Vierge fut ici longtemps très vivante. On venait en pèlerinage invoquer Notre-Dame comme consolatrice des affligés et l’implorer pour obtenir un temps favorable aux cultures.
Le cimetière voisin est aussi visité par les amateurs d’art funéraire. Il contient de nombreuses tombes de personnalités célèbres du XIX e siècle.
La crypte royale située dans l'église Notre-Dame de Laeken est le lieu de sépulture de tous les souverains belges régnants et leurs épouses, ainsi que certains membres de la famille royale belge.
Le grand orgue de l’Église Notre-Dame de Laeken fut construit entre 1872 et 1874 par Pierre Schyven et inauguré en présence du Roi Léopold II par Alexandre Guilmant et Auguste Mailly.
Démonté en 1908 par le facteur d’orgues laekenois Salomon Van Bever, il fut reconstruit en 1911 avec l’ajoute d’un Positif.Cette transformation nous vaut la perte du magnifique buffet néo-gothique qui ornait l’orgue de Schyven. Le 10 mai 1912 un concert solennel donné par Louis Debond clôtura les travaux.
En 1975 le Ministère des Travaux Publics décidait la restauration de l’instrument. Ce travail fut confié à Patrick Collon, facteur d’orgues à Laeken.Ainsi rétabli, l’orgue Schyven-Van Bever de l’église Notre-Dame de Laeken constitue l’un des témoins les plus prestigieux de la facture d’orgues romantiques en Belgique.
brusselscityoforgans.org
L’orgue de chœur fut construit en 1907 par Van Bever Frères et restauré en 1996 par Étienne De Munck, permet un jeu parfait et harmonieux avec le grand orgue.
Fils d’un charbonnier flamand, Léon Joseph Cardijn, devenu prêtre, forme un groupe de jeunes ouvriers chrétiens dans sa paroisse des environs de Bruxelles. En 1924, dans le droit fil de l’encyclique Rerum Novarum, il crée la Jeunesse Ouvrière Catholique (JOC), appelée à un grand rayonnement international tout au long du XXe siècle. La tombe du cardinal se trouve dans l’église Notre Dame de Laeken.
Même si l’ancienne église, vu son état avancé de délabrement, fut démolie en 1894 son chœur fut préservé et survécut comme chapelle au centre du cimetière attenant à la nouvelle église.
Source : Wikipedia
Le cimetière de l’ancienne commune de Laeken à Bruxelles est le plus ancien des cimetières bruxellois encore en fonction. Il est aussi le plus connu internationalement pour la richesse du patrimoine funéraire qu’il contient.
C’est également le dernier cimetière de la région bruxelloise du type « paroissial », établi autour d’une église suivant l’ancienne coutume chrétienne d’ensevelir les morts à proximité des vivants.
La statuaire est l’œuvre des sculpteurs les plus en vue de l’époque, comme le monument funéraire de Louis-Joseph Ghémar réalisé par le sculpteur Albert-Ernest Carrier-Belleuse, maître de Rodin. Un exemplaire du Penseur de Rodin est présent sur la tombe de Joseph Dillen, marchand d'art.
De nombreux monuments ont été réalisés dans l'atelier du sculpteur et tailleur de pierre Ernest Salu (1845-1923) et celui de ses fils.
Source : Wikipedia
A deux pas du palais royal, cette statue de la Vierge en bois polychrome de style roman (XIIIe s). La dévotion à la Vierge fut ici longtemps très vivante. On venait en pèlerinage invoquer Notre-Dame comme consolatrice des affligés et l’implorer pour obtenir un temps favorable aux cultures.