Notre-Dame de l'Assomption et Saint-Vaast
Rue Albert 1er de Belgique
62000 Arras
Cathédrale | 1770 | Néoclassique | Culte catholique
Carte
Heures d’ouverture
01 juillet - 31 août
lun -
mar 11.00 - 17.00
mer 9.00 - 17.00
jeu 11.00 - 17.00
ven 9.00 - 17.00
sam 11.00 - 17.00
dim 11.00 - 17.00
01 septembre - 31 décembre
lun
mar 14.30 - 17.00
mer 14.30 - 17.00
jeu 14.30 - 17.00
ven 14.30 - 17.00
sam 14.30 - 17.00
dim 14.30 - 17.00
01 mars - 30 juin
lun
mar 14.30 - 17.00
mer 14.30 - 17.00
jeu 14.30 - 17.00
ven 14.30 - 17.00
sam 14.30 - 17.00
dim 14.30 - 17.00
L'ouverture de la cathédrale étant assurée par des bénévoles, une fermeture exceptionnelle peut avoir lieu en fonction des disponibilités de ces personnes. Durant l'été, l'absence de bénévoles entraîne une fermeture plus régulière de l'édifice, nous vous remercions pour votre compréhension.
En ce moment : restauration du grand orgue de la cathédrale, pour suivre l'actualité sur le sujet, cliquez ici...
L'accueil et la boutique sont ouverts de 15h à 17h les jours d'ouverture, selon les disponibilités des bénévoles.
Visites guidées
+33 9 70 00 89 08
Offices religieux
A l'occasion d'autres cérémonies religieuses, la cathédrale reste ouverte aux horaires indiqués précédemment mais l'accès en visite libre sera limité, merci pour votre compréhension.
Durant l'été : les mercredis et les jeudis à 9h, le 14 juillet et le 15 août à 10h30
Description
Un des plus beaux et des plus vastes ensembles néo-classiques du XVIIIe s en Europe de l’ouest. La cathédrale est l’ancienne église abbatiale de l’abbaye Saint-Vaast contigüe. Ses origines remontent au VIIIe siècle. L’abbaye est reconstruite en 1740 et l’église vers 1760. Remarquable édifice dû à l’architecte parisien Contant d’Ivry qui reprend le plan qu’il a prévu pour l’église de la Madeleine à Paris.
Sa luminosité particulière est due à la pierre blanche de ses murs et aux vastes vitraux en grisaille. Sa hauteur sous voûtes impressionne, son architecture surprend, l’enfilade des colonnes qui soutiennent l’attique est majestueuse.
Détruite à 70% lors de la Guerre 14/18, elle est reconstruite à l’identique. L’architecte Pierre Paquet repense le mobilier liturgique selon le style art déco. Il appelle les grands artistes du renouveau de l’art sacré des années 30.
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Photos
Média
Éléments remarquables
La chaire
Œuvre de Marcel Gaumont (artiste issu du renouveau de l'art sacré), elle représente sur sa façade le Christ - deux fois plus grand que ses disciples - assis sur un rocher, au milieu d'un jardin d'oliviers. Il a les bras ouverts, dans une attitude d'humilité et d'acceptation. A sa droite et gauche, les disciples écoutent la tête baissée. De chaque côté, les quatre évangélistes sont représentés en séance d'écriture avec chacun leur attribut.
Les fonts baptismaux
Œuvre de Marcel Gaumont, en marbre sculpté, ils représentent deux récits : - d'un côté, le baptême du Christ par Jean le Baptiste, entouré d'anges lui tendant ses vêtements ; - de l'autre côté, saint Vaast évangélisateur bénit un groupe de nouveaux baptisés : trois générations sont représentées (grands-parents, enfants, petits-enfants), auprès d'une stèle brisée, symbole du paganisme.
La Vierge à l’Enfant
Œuvre de Cortot du début du XIXe s., elle a été offerte en 1820 à la cathédrale par le roi Louis XVIII. C’est une représentation de la Vierge dans un style classique, très inspirée des canons de la sculpture gréco-romaine.
La coupole de la Chapelle de la Vierge
La réalisation de la première fresque avait été confiée à Delacroix qui la fit exécuter par Daverdoingt ; la fresque actuelle a été peinte par Maret en 1933 elle est un hommage à Marie, mère de Jésus, reine du ciel.Le peintre représente plusieurs scènes de la vie de Marie et y intègre Marie entourée de scouts au chevet de soldats sur le champ de bataille.
Maître-autel
Œuvre de Saupique, table en granit du labrador monolithe et piliers de bronze doré, évoquant le Christ et le mystère de l'Eucharistie : l'agneau mystique (côté nef) fait face à la Résurrection (côté chœur) figurée par deux phœnix posant la tête sur la lettre X du Chrisme. Les autres faces présentent des animaux faisant référence au Christ : agneau, faisan, colombe, poisson.
Toiles de la Nativité et de la Résurrection
Œuvres de Desvallières, l'un des rénovateurs de la peinture religieuse au XXe s. Celui-ci recommande de regarder ces toiles en même temps, afin de mieux les comprendre et les interpréter. En effet, elles sont dans des tons identiques, mais réalisées de façon inversée : sur la toile de la Nativité, le mouvement est descendant du ciel vers la terre ; sur celle de la Résurrection, le mouvement nous entraîne vers les cieux.A proximité
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