La statue a probablement été sciée à la fin du 19e siècle et au début du 20e siècle et adaptée comme statue de procession.
Le support central de cette chaire de 1719 représente sainte Hélène en riche costume, avec la croix et le calice sur un nuage. Dans le bas, on voit un cadre de couronnes de laurier nouées, et dans le haut une corniche.
Sur le devant, on peut voir une image de Jésus bénissant.
Dans les angles chanfreinés se trouvent des écrans en volute avec le symbole des évangélistes.
Au-dessus de l'escalier, on peut voir une coquille sur laquelle deux guirlandes de fleurs sont suspendues par deux anges.
Vitrail, 1905.
Au centre, représentation de la Vierge à l'Enfant remettant le chapelet à saint Dominique en compagnie d'anges musiciens.
Devant à droite : main avec torche. Placé sous un double dais gothique.
Texte : « Donum Familiae/Vendelmans-De Wolf/ Anno Domini/ 1905 »/« Notre-Dame du Très Saint Rosaire ».
Il s'agit du seul vitrail épargné pendant la Seconde Guerre mondiale.
Bronze de Willy Peeters (1983).
Vue de face d'un groupe de sculptures avec des figurines d'environ 33 cm de haut, sur piédestal.
Bloc rectangulaire en pierre calcaire, coulée à gros grains. Dessus profilé, en gradins, voûté, avec pierre d'autel. L'ensemble est en marbre noir ; le socle rectangulaire inférieur comporte quatre colonnes pour le giron : chaque colonne a une base gothique, une colonne cylindrique en marbre rouge et des chapiteaux en forme de feuilles sous une pierre de couronnement carrée.
Huile sur toile de Jill van Lill (2023).
En huit œuvres, l'artiste Jill dépeint sa propre interprétation des huit Béatitudes.
Pour le format, elle s'est inspirée des statues colorées de saints que l'on voyait dans toutes les églises, hautes sur un piédestal, bien visibles.
Chaque Béatitude suggère une récompense, qui sont les fleurs au sommet. Le symbole, l'image et la couleur donnent un aperçu de la signification de ces Béatitudes à mesure que Jill en fait l'expérience.