01 April - 31 Oktober
Mo 8.00 - 18.00
Di 8.00 - 18.00
Mi 8.00 - 18.00
Do 8.00 - 18.00
Fr 8.00 - 18.00
Sa 8.00 - 18.00
So 8.00 - 18.00
01 November - 31 März
Mo 8.00 - 17.00
Di 8.00 - 17.00
Mi 8.00 - 17.00
Do 8.00 - 17.00
Fr 8.00 - 17.00
Sa 8.00 - 17.00
So 8.00 - 17.00
+33 3 21 98 70 00
Woche : 8.30
Sonntag : 10.30
Wunderschöne und einzige mittelalterliche astronomische Uhr aus der Zeit vor 1378, die noch immer in Betrieb ist. Im Jahr 1555 beauftragten die Domherren den Uhrmacher Pierre Enguerran aus Audomar damit, "eine Uhr zu bauen und zu bauen, indem er die Wiederherstellung der alten Uhr zu seinem Nutzen einsetzt". Der Zeiger, der die Sonne trägt, zeigt uns die Uhrzeit, den Monat, das Tagesquantimeter und das Tierkreiszeichen an. Es ist auch eine Astrolabium-Uhr, die uns kontinuierlich den Platz von acht Sternbildern anzeigt. Es ist auch eine astrologische Uhr mit den Tierkreiszeichen, ihrem Datum und den 12 Häusern. All das mit einer jahrhundertealten Mechanik, die nur aus 25 beweglichen Teilen besteht.
(laut Bernard D., Konservator der Uhr der Kathedrale von Saint-Omer).
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Übersetzung nach DeepL
Sculpture monumentale du XIIIe siècle, provenant du portail occidental de l’ancienne cathédrale de Thérouanne. Ce groupe sculpté composé de trois statues - un Christ en majesté, allégorie du Jugement dernier, la Vierge et saint Jean - est mis en valeur par le jeu de la perspective.
Monument funéraire, sans corps, élevé en mémoire d’une personne, le cénotaphe de saint Omer représente son gisant et les miracles qu’il a accomplis. Les jours de fête, on y introduisait les reliques du saint.
Le buffet baroque date de 1717, il est l’œuvre des frères Piette, maîtres-sculpteurs de la région. Lors de sa restauration le facteur d’orgue Aristide Cavaillé-Coll réalise son chef-d’oeuvre : un grand orgue romantique comprenant 50 jeux et 3.300 tuyaux. Un remarquable décor sculpté vient compléter l’impres- sionnant buffet.
« Le saint qui fait marcher », abbé de Saint-Bertin et évêque de l’immense diocèse de Thérouanne, qui s’étendait de la Somme à Ypres, saint Erkembode doit son surnom au fait qu’il a parcouru inlassablement son diocèse pour les plus pauvres, finissant paralysé à la fin de sa vie. Les nombreuses chaussures déposées sur son tombeau, en grès du VIIIe siècle, sont le témoin d’une croyance populaire selon laquelle le saint vient en aide aux enfants et personnes qui ont du mal à marcher.
Placée à l’origine dans une chapelle sur la Grand Place ce n’est qu’en 1785 que cette sculpture datant de 1200 en bois doré intègre la cathédrale. Elle est l’objet d’une vénération toute particulière de la part des des audomarois lors de la Neuvaine en septembre. Ses miracles sont racontés sur les colonnes du transept.