Eglise Onze-Lieve-Vrouw à Nieuwkerke (Heuvelland) - Découvrez cet édifice ouvert et accueillant

Eglise | XX | | Culte catholique

Accès PMR Places de parking Orgue

Carte

Heures d’ouverture

01 janvier - 31 décembre
lun 10.00 - 17.00
mar 10.00 - 17.00
mer 10.00 - 17.00
jeu 10.00 - 17.00
ven 10.00 - 17.00
sam 10.00 - 17.00
dim 10.00 - 17.00

Offices religieux

Kerknet

Description

Nieuwkerke est une très ancienne commune sur la route romaine Belle-Wervik. En 1105, elle est déjà connue sous le nom de ‘Nova Ecclesia’. En 1080, une église romane a été inaugurée à l’emplacement d’une ancienne chapelle. Les moines de Sint-Jan-ter-Berghe étaient à la base de cette construction. Cette église a été détruite et reconstruite de nombreuses fois.

Ainsi, au 16e siècle, elle a été transformée en bâtiment de style gothique tardif ; malheureusement, elle a été ravagée durant la Première Guerre mondiale, excepté la façade sud-ouest. L’église actuelle à trois nefs n’a été construite qu’en 1922-1923 en style néo-roman par Joseph Viérin.

A l’intérieur, l’église renferme des trésors tels une statue du Christ sur la croix (1600), un chemin de croix de C. Vallaeys (1923), des vitraux qui commémorent le meurtre de trois ecclésiastiques à Reningelst.
Chaque quart d’heure, le son de quatre petites cloches du carillon résonne dans les environs.

En octobre 2003, la Fabrique d’église a fait paraître une brochure illustrée fort intéressante.

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Photos

Éléments remarquables

Vitrail du choeur

Au centre, on voit la patronne de l'église : l'Assomption de la Vierge. A gauche, le curé de l'époque, A. Six (1920) et la sacristaine soeur Raphaël. A droite, un ange portant les armoiries de Nieuwkerke et un jeune ménage. En-dessous se lit le texte "Notre-Dame, patronne de West-Nieuwkerke, priez pour nous". Au-dessus trônent deux anges portant des banderoles : "Sainte Marie, à vous cette église, ressuscitée pour la deuxième fois". Les armoiries sont celles du pape Pie IX.

Vitrail nef latérale

Le vitrail représente l'assassinat de trois prêtres de Reningelst (1568). E- dessous, les armoiries de Dranouter et Nieuwkerke. Au sommet, un ange portant une banderole. Les rameaux en-dessous de l'ange symbolisent la victoire.

Fonts baptismaux

Ils sont de forme octogonale en pierre bleue, avec un lourd couvercle en cuivre.

Maître-autel

La partie en pierre se trouve sur trois marches de pierre bleue polies. Entre les colonnettes, on remarque des représentations bibliques. A gauche, l'offrande de pain et de vin par Melchisedech. Au milieu, Moïse et la manne dans le désert. A droite, l'offrande d'Abraham. Sur le rayon, des cierges "Calicem salutaris accipiam, et nomen Domini invocabo" (J'accepterai le calice du salut et j'invoquerai le nom du Seigneur". Au-dessus se trouve le retable en bois.

Chaire de vérité

La cuve et le socle sont hexagonaux. Sur un des cinq panneaux de la cuve on remarque le Christ enseignant à l'aide d'un livre sur lequel figurent l'Alpha et l'Omega. Les quatre autres panneaux représentent les quatre évangélistes, accompagnés à chaque fois d'une banderole à texte et de leur symbole : Mathieu et l'ange, Marc et le lion, Jean et l'aigle et Luc et le taureau.

Confessionnal

Le confessionnal contre le mur sud est orné de panneaux à textes. Sur les petites portes, des volutes ouvertes et le monogramme du Christ et de Marie. On reconnaît à gauche l'image de saint Pierre avec livre, clefs et coq chantant. A droite, sainte Marie-Madeleine portant une cruche d'onguent d'embaumement. Les deux figures se rapportent à la contrition du péché.