01 avril - 31 octobre
lun 9.00 - 17.00
mar 9.00 - 17.00
mer 9.00 - 17.00
jeu 9.00 - 17.00
ven 9.00 - 17.00
sam 9.00 - 17.00
dim 9.00 - 17.00
01 novembre - 31 mars
lun 10.00 - 16.00
mar 10.00 - 16.00
mer 10.00 - 16.00
jeu 10.00 - 16.00
ven 10.00 - 16.00
sam 10.00 - 16.00
dim 10.00 - 16.00
Le portail en arc brisé, composé de voussures ornées de motifs végétaux et de colonnes d’ordre corinthien est inspiré du style gothique. Le tympan se trouve au centre de ce portail. Le Christ juge, entouré d’une mandorle, y est représenté entouré des quatre évangélistes : le lion pour Saint-Marc, l’ange pour Saint-Matthieu, l’aigle pour Saint-Jean et le taureau pour Saint-Luc. Dans une église, le portail symbolise l’entrée du Paradis, la figure du Christ juge permet ici de poser un œil sur les fidèles qui entrent dans l’édifice. La commande du tympan est passée en 1887 à Jules Charonnot, sculpteur à Chaumont.
Elle caractérise parfaitement le style néogothique de l’édifice. La réalisation de la rosace s’est faite en un temps remarquablement court. L’abbé Cultot, alors curé de Bourmont, commande les vitraux au cours de l’été 1858 à l’atelier le Maréchal de Metz. Ils sont réalisés et expédiés par l’atelier dès la mi- septembre. Enfin, au mois de novembre, un ouvrier vient de Metz pour opérer à la pose, cette dernière lui prendra 13 jours.
L’ensemble de l’autel, ainsi que les peintures murales qui l’entourent ont été offerts par de riches familles bourmontaises, à l’époque de la construction de l’église. La famille Gibrat a offert l’autel en février 1862. Sculpté par Jules Charonnot, l’autel est dédié à Saint-Nicolas qui est représenté au centre en ronde-bosse, entouré de Saint-Pierre à sa gauche et Saint-Paul à sa droite. La famille Maure a offert les peintures murales en 1898, comme en atteste l’inscription du la clé de voûte.
Il est formé d’un autel dit composite, c’est-à-dire avec une face antérieure faite de colonnes, qui laissent voir une face postérieure pleine, sur laquelle est peint ici un Christ au linceul. L’autel est surmonté d’un imposant gradin scindé en deux par le tabernacle. Ce dernier est surmonté d’un dais d’expositions sculpté. 12 niches décorent le gradin de part et d’autre du tabernacle, Un apôtre est peint dans chacune d’elle. A l’origine, ces niches devaient recevoir des statuettes, mais la commande n’a jamais été honorée. Les chandeliers et la porte du tabernacle ont, comme le chemin de croix, été commandés à Placide Poussièlgue-Rusand.